Étape 3 : Une simplification de leur gestion financière
Ensemble, nous avons cartographié leur entreprise afin de faire son bilan et de les aider à gagner en clarté sur leurs objectifs financiers. Ainsi, cela leur a permis d’avoir une vision plus globale de leurs chiffres et d’optimiser leurs différentes offres.
“ Il y a eu le bilan qui a donné une première vision et après ça a challengé nos offres donc on en a créé des nouvelles, on a pu en optimiser certaines. “
Puis nous avons mis en place des routines pour simplifier leur gestion financière, afin de leur permettre d’y passer un minimum de temps et de préserver leur énergie.
“ Ça a instauré les bonnes routines, aux bons rythmes, un peu chaque semaine, un peu chaque mois, un peu chaque trimestre, pour que ça se répartisse dans l’agenda de façon facile. Si tu as les bons outils que tu regardes au bon moment, globalement tu es aux commandes sans déployer une énergie de dingue, sans dépasser un temps infini. “
Le mot de la fin
Selon Martin, il est important de prendre en compte tous les piliers de son entreprise comme levier de développement de son entreprise.
“ En fait il n’y a rien qui est séparé, c’est-à-dire qu’il n’y a pas : “ Tiens je fais des finances, puis je réfléchis à mon marketing, puis à ma vision et puis à mon savoir-faire “… En fait tout est relié complètement et du coup l’approche financière est vraiment intéressante.
En fait de sortir de cette confusion, c’est un vrai outil, un vrai accélérateur à tous les niveaux : ce n’est pas juste “ Et bah oui, je peux gérer ma finance “, ça aide vraiment à préciser son rapport au client, son efficacité à tous les niveaux… Parce que tout est relié, et en fait on trouve l’ensemble des éléments stratégiques qui sont à l’intérieur de la finance donc ça débloque des verrous pour d’autres disciplines aussi. “
Quant à Cécile, elle considère que se faire accompagner permet d’ajouter des briques indispensables à la croissance de toute entreprise :
“ Au départ, on a à peu près toutes les briques et en fait au bout d’un moment, on va se rendre compte qu’on fait ce truc-là un peu comme ça, peut être spontanément.
Au début, c’est bien et puis au bout d’un moment, on va se dire qu’il faut qu’on se professionnalise à cet endroit-là si on veut vraiment pouvoir y aller…
Donc je dirais qu’on prend les morceaux dans le sens qu’on veut selon les entreprises, c’est différent. Mais du coup un moment donné, ça devient un atout finalement concurrentiel non négligeable, donc c’est l’occasion de s’en occuper. “
Quel incroyable chemin parcouru. Félicitations Cécile et Martin !